Par Julien
Salut à toi, ô (Chouei-Chouei) Beyrouth,
Samedi transparent et ouvert, comme un matin où le temps s'est arrêté, où le soleil peigne ses rais d'or sans ombre ni sans mesquinerie. Y'a comme du bordel magnifique dans l'air. Du plaisir dans le retour sur cette terre où les agrumes sont rondes, juteuses, et uniques. Où le hommos s'acoquine avec les rêves les plus fous, les désirs de roi, de toi, de nous, dans l'antre de chez soi, chez nous, chez vous maintenant. Où la musique s'anime à tue-tête sur des autoradios pourris, entre deux trombes de klaxons, et trois salves de "yalla habibi" !
Une fois n'est pas coutume, musique, maintenant, pour étreindre l'oisiveté de la Méditerranée qui nous regarde, de l'autre côté des collines... Charbel Rouhana, c'est à toi.
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