Passage éclair sur Chouei Chouei Beyrouth, le blog. La période est agitée, florissante, foisonnante, et in(dé)finiment susceptibles de variations. Beaucoup de travail, pas mal de sorties, bien des découvertes. Je lance ce billet sur l'océan sans bien savoir s'il va atterrir quelque part. On n'a pas eu le temps de s'y remettre sérieusement.
Une chose est sûre. Le printemps bat son plein et le ciel est capable de tout. Plein soleil, cagnard hurlant, ou passages nuageux avec décharges d'humidité. Sans compter sur la fin du Khamsin (le vent du désert). Le toit du Liban change tout le temps. Pas plus tard qu'hier soir, ciel orange et laiteux, vent poussiéreux. Impossible de voir la ligne de crête du Mont Liban. Horizon bouché, vitres salopées. Et ce matin, Beyrouth est lumineuse. L'air est doux. Le soleil prépare son retour sur scène.
En attendant de pouvoir reprendre nos narrations aléatoires, nous continuons d'arpenter des kilomètres de rues brouillonnes. Sans lassitude aucune. A suivre...
Une chose est sûre. Le printemps bat son plein et le ciel est capable de tout. Plein soleil, cagnard hurlant, ou passages nuageux avec décharges d'humidité. Sans compter sur la fin du Khamsin (le vent du désert). Le toit du Liban change tout le temps. Pas plus tard qu'hier soir, ciel orange et laiteux, vent poussiéreux. Impossible de voir la ligne de crête du Mont Liban. Horizon bouché, vitres salopées. Et ce matin, Beyrouth est lumineuse. L'air est doux. Le soleil prépare son retour sur scène.
En attendant de pouvoir reprendre nos narrations aléatoires, nous continuons d'arpenter des kilomètres de rues brouillonnes. Sans lassitude aucune. A suivre...
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